Une étude (Karinen, Leszczynski et al., 2008) conduite dans les laboratoires de l’autorité de radioprotection et de sécurité nucléaire finlandaise (STUK) confirmerait les résultats de précédents travaux sur des cellules humaines menés par la même équipe selon lesquels des tissus vivants réagiraient à l’émission d’un téléphone mobile.
Dans cette nouvelle étude, la peau du bras de dix personnes a été exposée aux signaux d’un mobile GSM pendant une heure. Après l’exposition, un petit échantillon de peau a été prélevé. Un échantillon de comparaison a été prélevé sur l’autre bras des sujets. Toutes les protéines de la peau ont été analysées.
D’après les conclusions de l’étude, des modifications statistiquement significatives on été constatées dans le niveau d’expression de huit protéines.
Télécharger le texte complet de l’étude.